THE RACKET (Racket) – John Cromwell (1951)
La corruption dans Racket n’est pas une entité abstraite : elle est le produit de désirs, d’ambitions et de compromis qui agitent la ville entière : le film ne fait d’ailleurs aucune distinction moralisatrice entre le bien et le mal. Les personnages, même les pires, ne sont pas fondamentalement mauvais, sadiques, ou vraiment dangereux.