MARILYN MONROE : GLAMOUR GIRL
Reine de beauté et sex-symbol, Marilyn a aussi incarné pour toute une génération la quintessence du chic « made in Hollywood ». Entre luxe, mode et falbalas, petite revue de détail de la panoplie d’une superstar…
Reine de beauté et sex-symbol, Marilyn a aussi incarné pour toute une génération la quintessence du chic « made in Hollywood ». Entre luxe, mode et falbalas, petite revue de détail de la panoplie d’une superstar…
Hommage au génie du compositeur Irving Berlin, dont les chansons parsèment le film, There’s no business like show business (La Joyeuse parade) a également pour but de mettre en valeur les talents scéniques de Marilyn. Et ce, malgré les réticences de la star à se lancer dans un tel projet.
Malgré les personnages outrés qui figurent dans ses différentes œuvres, le réalisateur John Huston est connu pour son naturalisme, un qualificatif rarement associé a film noir. Les liens de Huston avec le Noir remontent pourtant à The Maltese Falcon (Le Faucon maltais, 1941), tourné avant la période communément […]
Sans Johnny Hyde (agent puissant d’Hollywood), Marilyn aurait pu périr en tant qu’actrice et rester dans le circuit des cocktails et des soirées. Il l’aida à obtenir les deux petits rôles qui allaient faire démarrer brusquement sa carrière : celui d’Angela, dans The Asphalt Jungle
Ce premier rôle de Marilyn Monroe dans une comédie musicale lui permit de révéler l’incroyable potentiel artistique qu’elle avait en elle : jouer, chanter, danser… Elle mit un tel cœur à démontrer ces qualités, et dépensa une telle énergie à les travailler que ce film est resté célèbre. En fait, le rôle de Lorelei Lee que Marilyn interprète dans Gentlemen prefer blondes devait être attribué à Betty Grabble, sex-symbol officiel de l’époque et actrice beaucoup plus chevronnée que Marilyn alors au début de sa carrière. Mais Marilyn avait agi en coulisses pour que, finalement, on finisse par lui donner sa chance. Et c’est le jour de ses vingt-six ans qu’elle apprit qu’elle serait Lorelei !
Par une cruelle ironie du sort, celle qui immortalisa à l’écran les chansons « Every baby needs a Da-Da-Daddy » et « My heart belongs to Daddy » ne connut jamais son véritable père. Une douloureuse absence qui marqua profondément la vie sentimentale de la star… Les biographes […]
« Vous n’avez encore jamais rencontré ce genre de fille» scandait en juillet 1952 la campagne de presse de Don’t bother to knock (Troublez-moi ce soir) à propos du rôle inquiétant tenu par Marilyn dans le film. Avec le recul, on serait tenté d’ajouter que l’on n’a pas non plus rencontré depuis lors « ce genre de fille » dans la filmographie de la star. Car le personnage de Nell Forbes, baby-sitter occasionnelle affligée de graves troubles mentaux, s’avère aux antipodes du registre outrageusement glamour qui sera par la suite celui de Marilyn.