Linda Darnell, somptueuse brune, fut une actrice attachante et fragile, embarquée dans l’arène d’Hollywood par une mère ambitieuse et prédatrice, qui voyait en elle l’instrument de sa propre ascension sociale et qui se fit haïr de tout le personnel des studios. Son histoire est celle d’une jeune actrice propulsée vers la gloire par un studio qui fit et défit sa carrière, la 20th Century-Fox, dirigée par Darryl F. Zanuck. C’est aussi celle d’une femme fragile mais courageuse, qui voulait tellement bien faire qu’elle parvint quelquefois à se hisser au niveau des plus grandes comédiennes, mais dont l’espoir d’être considérée comme une vraie diva de l’écran fut toujours déçu. Presque aussi sculpturale que Jane Russell mais beaucoup plus féminine, elle n’avait ni l’autorité ni l’assurance de cette dernière. Son physique voluptueux se doublait d’une étincelle dans le regard tragiquement prémonitoire. Otto Preminger, Douglas Sirk ou John Brahm, volontiers tortionnaires de femmes dans leurs intrigues, firent le meilleur usage de son aptitude à la souffrance, sans parler de Joseph L. Mankiewicz, qui lui fit l’affront d’écrire The Barefoot Contessa (La Comtesse aux pieds nus, 1954 dans leur chambre d’amoureux, avant d’offrir à Ava Gardner ce rôle dont elle se croyait l’inspiratrice. Elle n’aimait pas sa gloire, mais elle redoutait plus encore de retomber dans l’anonymat. Comme le dit Eddie Muller dans Dark City : « Elle se battait, quelquefois effarée, pour maintenir son image de déesse en deux dimensions. » Au bout du compte, cette actrice sous-estimée laisse derrière elle l’une des plus intéressantes filmographies féminines d’Hollywood. Cela ne peut être un hasard…




Rarement Hollywood aura autant fait souffrir une actrice, rarement une carrière aura été aussi chargée de sombres prédestinations. Linda Darnell ne fut jamais considéré comme une grande comédienne. Comme elle était somptueuse et s’accrochait à son rêve, sa punition, infligée par le patron de la Fox, Darryl F. Zanuck, fut de mourir dans beaucoup de ses films, frappée par le sort cruel que le cinéma américain du Code Hays destinait aux beautés exotiques ou aux femmes fatales. Dans Hangover Square (John Brahm, 1945) comme dan Anna and the King of Siam (Anna et le roi de Siam. John Cromwell, 1946 ), son corps livré au bûcher disparaît dans les flammes. Ces tournages furent particulièrement pénibles pour Linda Darnell. Elle avait une terreur maladive du feu, hélas prémonitoire, comme le rappelle dans une interview Douglas Sirk, qui, magnanime, s’était contenté de la faire poignarder dans Summer Storm (L’Aveu, 1944). [Linda Darnell, l’étoile sans joie -Hollywood, la cité des femmes – Antoine Sire (Ed. Actes Sud – Beaux-Arts – Institut Lumière) 2016]


En novembre 1937, un agent de la Fox, Ivan Kahn, découvre Linda Darnell à Dallas et la fait venir à Hollywood. Cependant, en raison de son jeune âge, elle est renvoyée au Texas. Ce n’est qu’en 1939 qu’elle est officiellement engagée par la Fox. Linda Darnell obtient son premier rôle dans Hotel for Women (Hôtel pour femmes, 1939) grâce à sa prestance latine. Son deuxième film, Day-Time Wife (1939), la propulse en haut de l’affiche aux côtés de Tyrone Power, avec qui elle tourne plusieurs films à succès. Linda Darnell joue dans Star Dust (1940), un film qui reflète son propre parcours d’actrice débutante, renvoyée chez elle car trop jeune. Son rôle dans ce film fait écho à plusieurs détails de sa vie réelle.


Le film qui propulse Linda Darnell au rang de vedette à seulement 17 ans est The Mark of Zorro (Le Signe de Zorro, 1940) de Rouben Mamoulian. Dans ce film, elle joue le rôle de la nièce du sinistre maire de Los Angeles, qui séduit Don Diego de la Vega (Tyrone Power). Le charme latin de Linda Darnell, rayonnante sous une mantille de dentelle blanche, embrase le cœur de son double redresseur de torts, Zorro. En 1940, Linda Darnell joue dans Brigham Young (L’Odyssée des mormons), un film sur la vie des mormons, et dans Chad Hanna (La Roulotte rouge, une histoire se déroulant dans le milieu du cirque où elle incarne l’épouse de Henry Fonda. Dans ces films, elle incarne des rôles qui mettent en avant sa grâce et sa générosité.


En 1941, Rouben Mamoulian réunit à nouveau Tyrone Power et Linda Darnell dans Blood and Sand (Arènes sanglantes), un chef-d’œuvre en Technicolor. Le film raconte l’ascension d’un jeune torero, interprété par Tyrone Power, manipulé par Dona Sol (Rita Hayworth) et délaissant son épouse, jouée par Linda Darnell. Le contraste entre la fragilité apparente de Darnell et la force de son personnage en fait l’un de ses meilleurs rôles. Cependant, aucun grand rôle ne suivra immédiatement. Elle jouera dans quelques films en 1941 et 1942, Rise and Shine, une comédie musicale de la Fox réalisée par Allan Dwan, puis dans The Loves of Edgar Allan Poe (1942) de Harry Lachman et sera remplacée dans Orchestra Wives (1942) en raison de problèmes de santé et de mécontentement avec son rôle. En 1943, Linda Darnell joue dans un film à petit budget, City Without Men (La Cité sans hommes), réalisé par Sidney Salkow. Elle incarne l’épouse d’un officier de marine injustement accusé d’espionnage. Dévouée, elle consacre sa vie à prouver son innocence et s’installe dans une pension de famille proche de la prison. Malgré une performance émouvante, le film reste trop modeste pour la hisser au rang de vedette.


Zanuck confie à Linda Darnell un rôle court de la Vierge Marie dans The Song of Bernadette (1943) de Henry King. Bien que ce rôle soit non crédité, il amuse les initiés d’Hollywood, car l’image de petite fille sage de Linda Darnell est de moins en moins justifiée. Après un début de carrière fulgurant, elle a rapidement réalisé que le monde du cinéma pouvait donner une fausse impression de sécurité. Les producteurs de la Fox, initialement très enthousiastes, ont vite commencé à la sous-estimer, hésitant entre la considérer comme une actrice de second rang ou lui confier des premiers rôles en misant sur son apparence avantageuse pour compenser le manque supposé de talent. En 1944, Zanuck prête Linda Darnell à Arnold Pressburger pour lt Happened Tomorrow (C’est arrivé demain), une comédie fantastique réalisée par René Clair, où elle joue aux côtés de Dick Powell. Malgré une prestation charmante, le film n’a pas d’impact significatif sur sa carrière. Elle retourne ensuite à la Fox pour pour Sweet and Low-Down (1944) d’Archie Mayo, un film musical mettant en vedette le clarinettiste Benny Goodman. Pendant le tournage, elle rencontre et se fiance avec Peverell Marley, un chef-opérateur, au grand désarroi de Darryl F. Zanuck qui voyait en sa réputation de virginité un atout majeur.


En 1944, elle joue dans Buffalo Bill de William A. Wellman, où elle interprète Dawn Starlight, une Cheyenne amoureuse de Buffalo Bill. Malheureusement, son personnage périra dans une bataille entre les Indiens et l’armée américaine, marquant le début de nombreux rôles tragiques pour Linda Darnell. Après un début de carrière éclatant, elle connaît un déclin alors que les producteurs de la Fox doutent de son talent. Sa carrière est relancée par son apparition dans le magazine Look parmi les quatre plus belles femmes d’Hollywood aux côtés de Gene Tierney, Hedy Lamarr et Ingrid Bergman, et par son rôle de femme fatale dans Summer Storm (1944) de Douglas Sirk, où elle incarne Olga, une paysanne manipulatrice. Son comprend une dose non négligeable de marketing : sa pose, son corsage et sa jupe fendue lorsqu’elle est allongée dans la paille sont une copie presque conforme des attraits ayant fait de Jane Russell une star un an plus tôt dans The Outlaw (Le Banni, Howard Hughes) ! L’ambitieuse Olga, qui entre dans la vie d’un notable pour chercher un abri un jour de pluie, manipule le juge jusqu’à ce que celui-ci la poignarde après avoir découvert qu’elle préfère un autre homme plus noble. Linda Darnell, désormais loin de ses rôles vertueux, trouve sa place à Hollywood avec ce film.


Elle joue aux côtés de George Sanders dans Hangover Square (1945) de John Brahm, interprétant une chanteuse assassinée par un compositeur victime de démence. Elle séduit ce musicien pour lui extorquer des chansons à succès, mais il la tue en découvrant sa trahison. Laird Cregar livre une performance impressionnante dans son dernier film avant sa mort tragique, tandis que Linda Darnell est crédible et séduisante dans son rôle. Son regard gagne en intensité dans des rôles de traîtresse. Darryl F. Zanuck recherchait « une femme très sexy » pour ce rôle et bien que Darnell ne prenne pas l’accent anglais, le film reste captivant. Après Hangover Square, Time écrit que Miss Darnell deviendra bientôt « l’incarnation la plus provocante du sexe à Hollywood ».


La même année, Linda Darnell joue dans Fallen Angel, bizarrement appelé Crime passionnel en français alors que « l’Ange déchu » aurait bien fait l’affaire, d’Otto Preminger, un film noir où elle incarne Stella, une serveuse qui séduit plusieurs hommes. Bien que ce film ne soit pas aussi réputé que Laura, il reste remarquable. Alice Faye qui devait tenir le premier rôle féminin, voit son rôle réduit au montage, mettant ainsi Linda sous les projecteurs. Dana Andrews déclare plus tard, « Linda Darnell était ce qu’il y avait de mieux dans ce film. » Preminger apprécie son jeu d’actrice malgré sa personnalité jugée terne. En 1946, ils collaborent à nouveau sur la comédie musicale Centennial Summer (Quadrille d’amour, en réponse à Meet Me in St. Louis (Le Chant du Missouri, 1944) de Vincente Minnelli, film de la MGM sur un sujet similaire.


Linda Darnell tourne en 1946 dans My Darling Clementine (La Poursuite infernale) de John Ford, où elle joue Chihuahua, une danseuse de saloon blessée par un des fils Clanton. Doc Holliday, interprété par Victor Mature, tente de la soigner, mais elle ne survit pas. Howard Hughes, milliardaire et réalisateur de The Outlaw, aura été, avec Joseph Mankiewicz, l’un des grands amours de Linda Darnell. En 1946, tandis qu’elle tournait My Darling Clementine, Hughes la rejoignit, mais finit par retourner à Manhattan pour retrouver Lana Turner. Cette déception aurait contribué à la descente de Linda Darnell dans l’alcoolisme. En 1948, dans Unfaithfully Yours (Infidèlement vôtre) de Preston Sturges, Linda Darnell joue l’épouse d’un chef d’orchestre jaloux qui imagine différentes façons de se débarrasser d’elle. Dès qu’il s’agit de tuer une femme, même seulement en pensée et dans une comédie, Linda Darnell arrive en tête de liste ! Elle travaille également avec John M. Stahl dans The Walls of Jericho (Les Murs de Jéricho, 1948) aux côtés d’Anne Baxter, Kirk Douglas et Cornel Wilde. Le film, qui se déroule dans une petite ville du Kansas, met en scène les commérages et les intrigues politiques locales. Linda Darnell, teinte en blonde pour l’occasion, joue le rôle d’une femme ambitieuse et insatisfaite qui manipule les autres pour servir les ambitions politiques de son mari. Elle est finalement démasquée lors d’une confrontation au tribunal avec le personnage d’Anne Baxter.


En 1949, Linda Darnell joue un de ses meilleurs rôles dans A Letter to Three Wives (Chaînes conjugales) de Joseph Mankiewicz, un film qui dépeint la vie conjugale de trois femmes de la petite bourgeoisie américaine. Elles reçoivent une lettre d’une amie affirmant être partie avec le mari de l’une d’elles, sans savoir laquelle. Le film explore leurs vies conjugales à travers des flash-backs. Linda Darnell incarne une femme désabusée mais attachante, épousant son patron vulgaire (Paul Douglas) malgré ses rêves déçus. Sa performance est juste et inventive. C’est lors du tournage que naît sa romance avec Mankiewicz qui la dirige avec talent. Linda Darnell gagne en notoriété grâce à ses rôles variés et souvent tragiques dans les années 1940 et 1950. En 1949, elle joue dans No Way Out (titré en français La Porte s’ouvre, c’est-à-dire exactement le contraire !), aux côtés de Richard Widmark et Sidney Poitier, un film antiraciste où elle incarne l’ex-compagne d’un bandit décédé. Son rôle hésitant et désabusé reflète bien les sentiments ambigus de nombreux « petits Blancs » face au combat pour l’égalité des Noirs. Elle n’était initialement pas pressentie pour ce rôle, mais elle y excelle sans artifice, renforçant ainsi sa crédibilité d’actrice.


Linda Darnell ne tourne pas de troisième film avec Mankiewicz, un événement tragique dans sa vie. Au début des années 1950, il prépare The Barefoot Contessa (1954), l’histoire d’une danseuse espagnole, Maria Vargas, qui devient une star d’Hollywood sans se soumettre aux puissants. Linda espérait ce rôle, mais Mankiewicz choisit Ava Gardner pour sa crédibilité en diva inaccessible. Cette décision marque le début du déclin de la carrière de Linda et la fin de sa relation avec Mankiewicz. En 1949, elle affronte un procès contre son agent Cy Tanner qui l’a escroquée, et divorce de Peverell Marley en 1952, obtenant la garde de leur fille adoptive.


Zanuck ne la respectait pas et elle le détestait, le voyant comme un marchand d’esclaves. Dès la fin des années 1940, elle obtient surtout des rôles secondaires. En 1949, dans Slattery’s Hurricane (La Furie des tropiques) d’André de Toth, Richard Widmark hésite entre elle et Veronica Lake, dont la carrière décline. Elle a aussi un rôle mineur dans Two Flags West (Les Rebelles de Fort Thorn, 1950), de Robert Wise, un western illustrant la fracture post-guerre de Sécession en Amérique. En 1951, elle tourne pour la dernière fois avec Otto Preminger dans The Thirteenth Letter Letter (La Treizième Lettre), un remake du film Le Corbeau situé au Québec, où elle interprète le rôle de la vamp boiteuse créé par Ginette Leclerc. La même année, elle joue également dans The Lady Pays Off de Douglas Sirk.


En 1952, Linda Darnell finit son contrat avec la Fox. Howard Hughes de la R.K.O. lui offre alors deux rôles : Blackbeard the Pirate (Barbe-Noire le Pirate, 1952) de Raoul Walsh, film culte pour l’interprétation de Robert Newton en pirate, et Second Chance (Passion sous les tropiques, où elle incarne une femme traquée en Amérique du Sud, protégée par Robert Mitchum contre un Jack Palance menaçant. Le point fort de ce film est sa dernière demi-heure dans un téléphérique en panne, et c’est le premier film en 3D de la R.K.O, durant la première vague de succès de cette technologie.


En 1952, Linda Darnell tombe malade lors du tournage d’Island of Desire (Île du désir) à la Jamaïque. Elle y incarne une ancienne infirmière naufragée sur une île déserte avec un marine, joué par Tab Hunter. L’île, malgré son apparence paradisiaque, est vue par son personnage comme hostile. Après diverses péripéties, dont une rencontre dangereuse avec un requin, un troisième naufragé complique l’intrigue. En 1954, Darnell tourne à nouveau pour Stuart Heisler dans un film noir, This Is My Love où elle interprète une vieille fille frustrée et meurtrière. Ce bon rôle ne relancera pas sa carrière à cause de la faible distribution du film par Republic Pictures et R.K.O. Pour Linda Darnell, la fin de carrière est difficile. Éprouvée par l’alcool, elle part en Italie vivre une idylle avec le réalisateur Giuseppe Amato, qui la dirigera dans deux films à succès modeste : Donne proibite (Femmes damnées, 1953) et Gli ultimi cinque minuti (Les Cinq Dernières Minutes, 1955). De retour en Amérique, elle mène une carrière théâtrale peu brillante et traverse deux mariages ratés.


Linda Darnell est décédée le 10 avril 1965, dans un incendie survenu dans la maison de ses amis Jeanne et Richard Curtis, près de Chicago. L’incendie a été provoqué par un mégot mal éteint. Ce soir-là, elle regardait l’un de ses films intitulé Star Dust. Jeanne et sa fille Pattie, qui étaient avec elle dans la maison, ont pu être sauvées, mais Linda Darnell s’est retrouvée piégée en ne parvenant pas à ouvrir une porte. Elle a été gravement brûlée et est décédée trente-trois heures plus tard. Pendant cette période, il lui a été possible de recevoir quelques télégrammes. Selon l’un des biographes de Howard Hughes, ce dernier aurait rendu visite à l’hôpital, mais elle avait déjà perdu connaissance. À sa disparition, ses amis se souviennent d’une comédienne gentille et professionnelle, mais pour qui la célébrité était trop lourde.




HANGOVER SQUARE – John Brahm (1945)
Sur un sujet proche, Hangover Square (1944), de John Brahm, réussit un autre type d’osmose entre gothique et film noir. Tiré d’un roman de Patrick Hamilton, l’histoire se situe dans le Londres du XIXe siècle. Un compositeur schizophrène subit des crises de folie criminelle dont il perd ensuite le souvenir. D’entrée, nous savons qu’il est un assassin et sommes invités à suivre son double chemin de croix : celui de sa dualité incontrôlable qui le conduit à tuer et celui de son écartèlement névrotique entre sa vocation musicale et sa passion contrariée pour une chanteuse arriviste qui le contraint à prostituer son art pour elle.

FALLEN ANGEL (Crime passionnel) – Otto Preminger (1945)
On ne change pas une équipe qui gagne : après le mythique Laura, Preminger retrouvait Dana Andrews pour cet autre polar. Au passage, un peu de mystère s’est envolé, mais Fallen Angel (Crime passionnel) garde cependant l’atout du classicisme parfait : c’est une véritable encyclopédie du film noir. Eric Stanton, le très typique mauvais garçon, est un escroc à la petite semaine qui débarque dans une ville tranquille, et même mortellement ennuyeuse pour la brune incendiaire condamnée à tenir le bar du coin.

A LETTER TO THREE WIVES (Chaînes conjugales) – Joseph L. Mankiewicz (1949)
Un samedi de mai, Deborah, Lora Mae et Rita délaissent leurs maris pour organiser un pique-nique sur les bords de la rivière avec un groupe d’enfants orphelins. Juste avant d’embarquer sur le bateau, elles reçoivent une lettre : Addie Ross leur apprend qu’elle a quitté la ville avec le mari de l’une d’entre elles. Pendant la promenade, chacune s’interroge pour savoir s’il s’agit du sien…


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